A propos de moi

Je pratique la photographie depuis fin 2008 où j’ai eu mon premier appareil photo, un bridge, le Panasonic Lumix FZ28 qui m’a donné goût à la photo. Comment m’est venue cette idée de faire de la photo ? Un jour, à un barbecue entre amis dans le Finistère, une amie avait un réflex, elle me l’a prêté pour essayer par curiosité, et j’ai été bluffé de la qualité ainsi que du fait que le premier plan soit complètement détaché du fond (j’ai appris, peu longtemps après, que c’était lié à la profondeur de champ, le flou au second plan s’appelle le « bokeh » si vous voulez tout savoir !). Pour mon Anniversaire et Noël (bonheur d’être né en fin d’année, et de pouvoir combiner les cadeaux) j’ai demandé ce fameux bridge. D’ailleurs, pour toutes les personnes s’intéressant à la photo, je conseille un bridge pour débuter plutôt qu’un réflex, premièrement pour une question de budget, mais aussi d’encombrement. Ils permettent de se faire la main dessus, et de s’habituer aux réglages. Bref, je ne m’étendrai pas sur ce sujet aujourd’hui, peut-être dans un futur article de blog.

Après avoir touché à tout et découvert les nombreuses possibilités des modes manuels, je sentais que j’approchais des limites qu’un bridge pouvait fournir. J’ai donc décidé de passer le cap, et d’investir dans un réflex. Je n’ai jamais pris de cours ou fait de stage photo, j’ai préféré explorer par moi-même les capacités qu’offraient ce type d’appareil, accompagné de nombreuses recherches sur internet ainsi que dans des revues.

J’ai touché à de nombreux domaines que l’on peut trouver en photographie. Des paysages (en vivant dans le Finistère, en ayant grandi à Quimper et fait mes études sur Brest, j’ai pu m’entraîner), à de la macro, à de l’architecture urbaine.
J’ai aussi eu une grande période UrbEx (Urban Exploration), qui consiste à prendre en photos et à retranscrire toutes les émotions que l’on peut avoir en visitant des lieux abandonnés pour diverses raisons. Pratiquer l’urbex m’a permis de voyager partout en France, mais aussi du côté de la Belgique ou des Pays-Bas, étant donné que les lieux sont nettement mieux conservés que par chez nous en Bretagne ou Finistère, où les tags et la destruction priment sur la conservation. Lorsque les occasions se présentent, je m’oriente vers les portraits, que ce soit en intérieur avec un studio photo, ou extérieur à la lumière naturelle (ce que je préfère, de toute façon il ne pleut jamais sur Quimper ou Brest, bon Brest c’est un peu moins vrai…).